Pour illustrer le casse tête cette semaine chez Lajemy : vivre dehors en été.
Bien sûr il y a le soleil sur nos peaux dénudées. Qui chauffe et qui brûle, il y a le sourire sur nos lèvres et l’envie de faire la fête, de déboucher une bouteille, d’empiler des glaçons dans des verres. Le bonheur des vacances en famille, le sel de la mer ou le clapotis d’un ruisseau à la montagne. Il y a les gens, beaux, huilés, bronzés autour. Des photos à faire, le soir habillé de rouge, des murs couverts d’histoire et de rayons, des arbres, des fleurs, le sable, les dunes, l’océan, les geysers.
Tout ce qui donne envie de profiter de l’été, de s’aérer, de respirer à fond. De remplir ses poumons d’oxygène qu’on reste là ou qu’on parte…
Mais ailleurs justement, il y a aussi, la faim, la soif, la misère. Vivre dehors c’est ouvrir les yeux et tout regarder. Même ce qui pique, qui électrise et qu’on ne veut pas voir. Dehors il y a ça :
C’est ma manière à moi, d’évoquer les vacances. Et le reste...