Cette année ils sont particulièrement virulents. Abeilles, guêpes, moustiques, araignées n’épargnent personne. On accuse la chaleur, les points d’eau, les voyageurs lointains, le panier du pique-nique. Il y a ceux qui sont attaqués systématiquement, dont la chair tendre et le sang frais sont une délectation. Et ceux qui ne connaissent pas les piqûres sournoises, les réactions provoquées par les dards.
En découlent toutes sortes de boursouflures, démangeaisons, brûlures insupportables contrées par l’alcool, les pommades, les sprays et autres roll on. Ce qui inquiète c’est l’ampleur des réactions, ce qui rassure c’est leur brièveté. Sauf dans certains cas où les plaques rouges et gonflées prendront du temps à se résorber.
Ce sont des maux de l’été passagers dont il faut se méfier si on est allergique évidemment. Pour les décrire, je n’ai pas eu à ruser avec les mots.